Éditions Michel Lafon (avril 2020, 189 pages).
Avant-propos de Jean-François Pitet, commissaire de l’exposition.
« Le rire était Cabu. C’était sa raison de vivre. » – Riss, directeur de publication de Charlie Hebdo. Extrait de Une minute quarante-neuf secondes, Actes Sud, 2019.
« Face à Hitler, qu’auriez-vous fait Monsieur Cabu ? » – Jean-Luc Porquet, ami de Cabu et journaliste au Canard Enchaîné. Extrait de Cabu, Une vie de dessinateur, Gallimard, 2018.
« Cabu était un homme libre. Il nous reste ses dessins, il me reste à construire sa mémoire. Visionnaire, il l’était. Il avait tout compris de notre époque et savait plus que personne anticiper les débats actuels. Le dessin de presse satirique est un élément essentiel de notre culture et de notre environnement démocratique. C’est sans aucun doute pourquoi Cabu mettait autant de passion et d’énergie à le défendre avec talent, sans jamais sacrifier son humour. A travers cette exposition dont le principe était acté dès 2015 par Anne Hidalgo, la maire de Paris, une évidence commune s’est imposée : faire rire ! » – Véronique Cabut